Au sommaire
- La bande annonce
- Virée en plein ciel
- Le Salève
- Des raquettes pour de la poudre
- Infos pratiques
La bande annonce
[media id=22]
Virée en plein ciel
Le téléphérique de la Grave dans les Hautes Alpes n’est ni le plus long, ni le plus haut, ni le plus puissant. Pourtant, il dessert avec ses trains de cabines orangées au charme désuet l’un des plus beaux domaines hors pistes de France et même du Monde : les vallons de la Meije entre 1400 et 3200, voire 3550 m. si l’on monte jusqu’au sommet avec le téléski…
Ce téléphériques est la colonne vertébrale de La Grave.
Il est aussi la pompe qui alimente en adrénaline les Riders passionnés du monde entier. A tel point que l’attachement des skieurs et des habitants du village à «leur» téléphérique est étonnant…
Le Salève
Reportage de Christophe Ferrux – Coproduction : France 3 / Mécanos Productions
Si Genève est connue pour son jet d’eau, elle pourrait l’être également pour « sa » montagne: le Salève.
Equipé dès la fin du XIXe siècle d’un chemin de fer à crémaillère, le Salève se dote d’un téléphérique en 1932, un chef d’Å“uvre de modernisme architectural signé Maurice Braillard qui va ouvrir définitivement cette montagne à Genève et à tout le sud du bassin lémanique.
Cette montagne de « ville » offre aux promeneurs du dimanche, aux varappeurs (le terme provient d’ailleurs des premiers grimpeurs à avoir escaladé les falaises du Salève) en passant par les parapentistes, un panorama exceptionnel sur les Alpes et le bassin du Léman jusqu’aux crêtes du Jura.
Des raquettes pour de la poudre
La raquette est le seul engin capable d’emmener un surfer au sommet d’une pente de neige, vierge de toutes traces, domaine historiquement réservé aux randonneurs à ski.
À La Grave, au pied du massif de la Meje, Patrick emmène un groupe désireux de devenir autonome avec des raquettes aux pieds en haute montagne.
Sécurité et respect de la nature sont la base de l’enseignement. Pour les confirmés, nous irons serpenter entre les crevasses du glacier de la Meije avec le guide Pierre Rizardo et quelques surfers.
Quelques heures de marche encordés pour s’offrir une descente en poudreuse dignement méritée.
Plus d’informations concernant l’émission du 02/02/2008 sur le site de France 3