Là où la magie des paysages et des rencontres appelle à parler de développement durable et de tourisme solidaire.

Depuis 9 ans

Chroniques d’en haut raconte chaque semaine la vie des massifs de France et d’ailleurs à travers des reportages, des rencontres, et des voyages aux quatre coins de la planète. Un équilibre préservé entre les adeptes de la vie traditionnelle, au rythme des saisons, et ceux qui vivent la montagne comme une terre de loisirs, de recherche ou d’exploit.
D’une saison à l’autre, la montagne s’est dévoilée à travers le témoignage des hommes et femmes qui l’habitent, la conquièrent , l’aménagent ou la préservent.
Que ce soit lors d’interview en situation avec Laurent Guillaume, ou dans les deux reportages qui sont diffusés dans chaque émission, ou encore lors de documentaires spéciaux consacrés à un thème unique (La neige et les hommes, Les grands alpinistes,  Les saisonniers…) :  tout est prétexte à l’échange et à la découverte.
Sans langage scientiste ni artifice : des rencontres simples, une vulgarisation nécessaire tendance écolo mais pas trop, de belles images, du vertige, de la vitesse, de l’espace : Laurent Guillaume organise, avec la complicité de Karine Souchon la coordinatrice de l’émission, son emploi du temps d’une montagne à l’autre, toujours à l’affût d’un angle original : les liqueurs d’alpage, une nuit en montagne, entre Ciel et Terre, le métier de guide, la solitude des grands espaces, ou travailler en montagne…
Un inventaire à peine entamé qui réserve encore d’innombrables découvertes comme celles que nous propose Laurent Guillaume pour le mois de mars : le Haut-Atlas au Maroc.

Une randonnée équitable et solidaire

Ce documentaire de 26 min propose d’emmener le spectateur dans un voyage, où la
magie des paysages et des rencontres appelle à parler de développement durable et de
tourisme solidaire.
A l’heure où ces notions sont mises en vitrine par presque tous les tour-opérateurs, à
la limite du concept marketing, nous allons voir ce qu’il en est concrètement sur le
terrain.
Au fil de la découverte du Djbel Sirouah et de ses villages accrochés à la pente,
habités de façon ancestrale par les Berbères, paysans montagnards du Maghreb et de
l’Afrique, le film montre comment une association locale, Migrations et
Développement, agit pour l’amélioration des conditions de vie (ou plutôt de survie)
des habitants : commerce équitable, auberges associatives et communautaires, co-
développement et débats participatifs…
L’Anti-Atlas, véritable laboratoire du tourisme solidaire.

L’Oukaimeden, l’or blanc du Maroc

A quelques kilomètres au sud de Marrakech et de ses charmeurs de serpents, Laurent Guillaume nous emmène découvrir un site touristique improbable : la station de ski la plus haute d’Afrique, l’Oukaimeden.
A 2600m d’altitude, la station étendue sur 300 hectares peut s’enorgueillir d’être aussi élevée que Val Thorens… mais la comparaison s’arrête là.
Ici les paysans berbères s’improvisent tout à la fois loueur de skis, et moniteur, pour une clientèle marocaine aisée de plus en plus accroc à la neige : chaque week-end, des centaines de Marrakchis émerveillés viennent découvrir avec enthousiasme les plaisirs inconnus des sports d’hiver… et les paysages panoramiques sublimes sur le Haut-Atlas et la plaine de Marrakech.
En compagnie des personnages qui font tourner la station, Laurent Guillaume revient sur l’histoire de cet endroit fascinant, sur son fonctionnement quelque peu insolite, et sur son proche avenir : une extension du domaine financée à coup de millions de dollars par les Emirats.

Un seconde magazine, «Une randonnée équitable dans l’Atlas» sera diffusé samedi 31 mars à 17h40. coproduction : Mécanos Productions

En bonus, une vidéo « version off » du tournage au Maroc :

Tournage Atlas- Version Off par lglyon

Plus d’infos sur le site de France 3

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