Cette semaine, remontons le Vénéon, depuis Bourg d’Oisans, afin de rejoindre Saint-Christophe en Oisans, aux portes des Ecrins.

Dans le vieux village de la Bernardière, les maisons sont très resserrées afin de mieux tenir dans la pente et ne pas dépasser dans les couloirs à avalanches.

De Saint-Christophe, un diction local dit que l’on commence d’abord à user ses chaussures de montagne avant de sortir la corde. Pas d’accès rapide par la route ou les remontées mécaniques, il faut marcher.

C’est un peu la mecque de l’alpinisme à l’ancienne.

Tel Gaspard, vainqueur de la Meije le 16 aout 1877, partons à sa rencontre.

Gérard, arrière-arrière-petit-fils de Pierre Gaspard, nous parle de cette époque de conquête.

Il est part ailleurs moniteur de ski, guide de haute-montagne et gardien du refuge du Chatelleret, d’où partit l’équipe conquérante, à l’époque simple abris sous roche.

Marie-Claude, tient un hotel-café-restaurant datant de plus d’un siècle.
Découverte de ce lieu incontournable pour tout alpiniste et randonneur, où de nombreux livres sont en consultation.

Alain et Hervé nous expliquent comment est prise la décision de réouvrir la route de la Bérarde à la fin de l’hiver.

Laurent embarque ensuite dans le camion de déneigement conduit par Laurent, afin de déneiger la route.
Un formidable travail de précision, car parfois, la route est à peine plus large que le camion.

Pour arriver les premiers de la saison, à La Bérarde, du fait qu’il n’ y a désormais plus aucun habitant à l’année.

Plus d’informations sur l’émission du 02/04/2011 sur le site de France 3

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2 réponses à to “Oisans, la montagne à l’état brut”

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